Poem by Anne-Marie Derése
Je ne sais qui tu caches
sous ton visage inventè,
ton visage volè l'oiseau,
emprisonnè de cendre rouge.
Je vais t'aimer comme on meurt.
Je vais te garder
pour les annèes venir.
Tu seras si apprivoisè,
si incroyable,
mon ètrange animal,
avec tes lévres ouverte
sur un sourire perdu.
Je boirai ton haleine
et je saurai qui tu caches.